Mécanicien / mécanicienne en protection-incendie norme professionnelle du sceau rouge
Le Conseil canadien des directeurs de l’apprentissage (CCDA) reconnaît la présente Norme professionnelle du Sceau rouge (NPSR) comme la norme du Sceau rouge pour le métier de mécanicien/mécanicienne en protection-incendie.
2018 – Série d'analyses de professions
Available in English under the title:
CNP : 7252
Année de désignation : 1976
PDF
Nº de cat. : Em15-3/12-2017F-PDF
ISBN/ISSN : 978-0-660-09820-3
EDSC
Nº de cat. : LM-553-09-17F
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Information générale
Description du métier de mécanicien/ mécanicienne en protection-incendie
« Mécanicien/mécanicienne en protection-incendie » est le titre Sceau rouge officiel du métier tel qu’approuvé par le CCDA. Cette norme couvre les tâches exécutées par les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie dont le titre professionnel a été identifié par certaines provinces et par certains territoires sous les noms suivants :
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Mécanicien/mécanicienne en protection-incendie (construction) |
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Installateur ou installatrice de systèmes de protection contre les incendies |
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Mécanicien/mécanicienne en protection-incendie |
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Monteur/monteuse de réseaux de gicleurs |
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Poseur de gicleurs |
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Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie mettent en place, installent, réparent, entretiennent, modifient, inspectent et mettent à l’essai les systèmes de protection-incendie dans divers immeubles et lieux. Ils travaillent sur des systèmes de protection-incendie comme les systèmes de gicleurs sous eau, sous air, à eau atomisée, à préaction, à mousse, de type déluge, les réseaux de canalisations d’incendie, les systèmes à agent propre, au dioxyde de carbone, hybrides, à antigel, à poudre chimique et à agent chimique liquide. Leurs responsabilités comprennent la lecture et l’interprétation de dessins techniques, l’installation de supports et de brides de fixation pour supporter la tuyauterie, la préparation et le raccordement de tuyaux à l’aide de diverses méthodes, l’installation de l’équipement connexe, dont les dispositifs de prévention du raccordement croisé, ainsi que l’entretien, l’inspection et la mise à l’essai de tous les types de systèmes de protection-incendie.
Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie travaillent généralement, mais sans s’y limiter, dans des lieux industriels, institutionnels, commerciaux et résidentiels comme les immeubles de bureaux, les usines, les hôpitaux, les hôtels, les maisons, les immeubles d’appartements, les aéroports et les foyers de soins personnels. Ils peuvent travailler pour des entrepreneurs spécialisés, des services d’entretien d’usines et des compagnies d’entretien et de services. Ils peuvent également être travailleurs autonomes. Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie peuvent se spécialiser dans l’installation, l’entretien, la mise à l’essai ou l’inspection.
Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie utilisent des outils et de l’équipement comme les outils à main, les outils mécaniques fixes et portatifs, les appareils de mesure et de mise à l’essai et l’équipement d’accès, de gréage, de hissage et de levage.
Ils travaillent principalement à l’intérieur, souvent dans des espaces non chauffés ou chauffés temporairement. Ils peuvent aussi être appelés à installer des systèmes à l’extérieur, autant à la surface du sol que dans des installations souterraines. L’installation de l’équipement de protection-incendie s’effectue dans chacune des phases de construction, généralement à partir de la moitié jusqu’aux dernières étapes d’une nouvelle construction ou lors de rénovation de structures existantes ou lorsque les travaux sont prescrits par la loi. Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie travaillent souvent sur le même chantier à plusieurs reprises et effectuent couramment une variété de tâches touchant à tous les aspects du métier. Ils sont souvent appelés à travailler dans des espaces clos et en hauteur. Ils peuvent occasionnellement éprouver un inconfort physique causé par le soulèvement d’importantes charges surélevées, les mouvements répétitifs, les variations de température, le bruit et la poussière.
Les aptitudes que doivent posséder les personnes qui débutent dans ce métier sont des compétences en mécanique et en mathématiques, une dextérité manuelle, de bonnes compétences en matière de communication et de résolution de problèmes et la capacité d’effectuer un travail minutieux. La force physique, l’endurance et la capacité à travailler en hauteur constituent également des atouts dans ce métier.
La présente norme reconnaît les similarités ou les chevauchements avec le travail des plombiers/plombières et des monteurs/monteuses d’appareils de chauffage.
Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie d’expérience peuvent accéder au poste de contremaître, d’estimateur ou d’estimatrice, d’entrepreneur ou d’entrepreneure, d’inspecteur ou d’inspectrice et d’instructeur ou d’instructrice. Ils peuvent aussi agir comme mentors ou mentores et formateurs ou formatrices auprès des apprentis et des apprenties dans le métier.
Sommaire des compétences essentielles
Les compétences essentielles sont les compétences nécessaires pour vivre, pour apprendre et pour travailler. Elles sont à la base de l’apprentissage de toutes les autres compétences et permettent aux gens d’évoluer avec leur emploi et de s’adapter aux changements du milieu du travail.
Grâce à des recherches approfondies, le gouvernement du Canada et d’autres organismes nationaux et internationaux ont déterminé et validé neuf compétences essentielles. Ces compétences sont mises en application dans presque tous les métiers et dans la vie quotidienne sous diverses formes.
Une série d’outils approuvés par le CCDA a été élaborée pour aider les apprenties et les apprentis à suivre leur formation et à être mieux préparés pour leur carrière dans les métiers. Les outils peuvent être utilisés avec ou sans l’assistance d’une personne de métier, d’un formateur ou d’une formatrice, d’un employeur ou d’une employeuse, d’un enseignant ou d’une enseignante, ou d’un moniteur ou d’une monitrice pour :
- comprendre comment les compétences essentielles sont utilisées dans un métier;
- déterminer les forces en matière de compétences essentielles et les aspects à améliorer;
- améliorer les compétences essentielles et les chances de réussir un programme d’apprentissage.
Il est possible de commander les outils ou d’y accéder en ligne au https://www.canada.ca/fr/emploi-developpement-social/programmes/competences-essentielles/outils.html.
Ce document peut renfermer une description de la mise en pratique de ces compétences dans des énoncés de compétences accompagnant chaque sous-tâche du métier. Un aperçu des exigences pour chaque compétence essentielle tiré des profils des compétences essentielles suit. Le lien vers la version intégrale se retrouve au www.sceau-rouge.ca.
Lecture
Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie lisent des textes comme des descriptions courtes et des consignes sur les étiquettes des produits. Ils lisent des bulletins, des manuels, des bons de travail, des rapports et des méthodes lorsqu’ils installent l’équipement, l’utilisent, effectuent un diagnostic de l’équipement, l’entretiennent, l’inspectent et le réparent. Ils lisent aussi des courriels et des notes de service de superviseurs, de collègues et de fournisseurs concernant le travail en cours.
Utilisation des documents
Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie numérisent et repèrent des données sur des étiquettes, des listes, des tableaux et des horaires. Ils se réfèrent aux codes applicables, dont celui de la National Fire Protection Association (NFPA) et celui du Code national du bâtiment (CNB). Ils peuvent interpréter les graphiques lorsqu’ils surveillent le fonctionnement de l’équipement. Ils interprètent ou révisent des schémas et des dessins techniques de systèmes pneumatiques, mécaniques, électriques, structuraux et hydrauliques pour déterminer s’ils ont des défectuosités. Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie peuvent aussi récupérer et étudier les données de dessins à l’échelle afin de déterminer et de vérifier l’emplacement de l’équipement à installer. Ils remplissent aussi des formulaires comme des certificats d’essai, des documents de sûreté, des bons de commande, des rapports de contrôle, des formulaires d’entretien, des registres, des feuilles de temps et des bons de travail.
Rédaction
Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie rédigent de courts textes dans des registres et des formulaires. Ils peuvent rédiger des procédures à suivre en ce qui touche la réparation, l’entretien, et la sécurité au travail. Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie rédigent des courriels qu’ils envoient à leurs superviseurs et à leurs collègues concernant le travail en cours, et aux fournisseurs concernant les spécifications de l’équipement. Ils rédigent aussi des rapports d’incidents et mettent à jour les dessins au besoin.
Communication orale
Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie communiquent avec des fournisseurs, des ingénieurs, des entrepreneurs, des collègues, des superviseurs, d’autres gens de métier, des clients et le public concernant les spécifications de l’équipement, l’accès, les commandes et le délai de livraison et de service. Ils discutent des bons de travail, des défectuosités d’équipement et de la coordination des tâches avec des collègues. Ils discutent aussi de la sécurité, de la productivité et des changements dans les procédures et les politiques lors de réunions avec des collègues, des superviseurs, des ingénieurs et des clients.
Calcul
Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie mesurent diverses propriétés physiques de l’équipement. Les calculs sont nécessaires pour divers aspects du métier comme les systèmes pneumatiques, mécaniques, structuraux et hydrauliques. Ils calculent les distances, les totaux, les maximums, les minimums, les tolérances, les ajustements et les quantités requises. Ils peuvent calculer les charges, les capacités, les vitesses, les vélocités, les débits et les dimensions pour les systèmes et les composants mécaniques. Ils effectuent des calculs afin d’ajuster l’équipement, de le mettre de niveau et de l’aligner conformément aux devis et pour effectuer le diagnostic des paramètres de traitement. Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie évaluent les poids et les distances appropriés pour gréer, hisser, lever et déplacer de l’équipement.
Raisonnement
La capacité de raisonnement est essentielle au métier de mécanicien/mécanicienne en protection-incendie. Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie doivent avoir la capacité de s’adapter quotidiennement aux conditions du chantier; aux problèmes de conception, de fabrication et d’installation; aux préoccupations liées à la sécurité; et aux objectifs de rendement et de productivité. Ils peuvent évaluer la faisabilité de conception pour des modifications mineures aux systèmes de protection-incendie, en veillant à ce que les conceptions répondent aux devis techniques, aux exigences de rendement et aux règlements provinciaux et territoriaux. Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie dépannent aussi les systèmes de protection-incendie pour déterminer les besoins en matière de services.
Technologie numérique
Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie peuvent utiliser des bases de données pour effectuer des recherches sur les antécédents de l’entretien, les éléments réglementaires et les procédures. Ils peuvent aussi entrer des données de bons de travail terminés dans un système informatisé de gestion de l’entretien (SIGE). Ils peuvent utiliser des programmes pour aider le rajustement des dessins avec un logiciel de conception assistée par ordinateur (CAO) et la modélisation des données d’un bâtiment. Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie utilisent des outils de mesure de mise à niveau et d’alignement informatisés manuels. Ils peuvent utiliser un logiciel de traitement de texte pour rédiger des textes comme des rapports d’incidents et des procédures d’entretien, les modifier et les formater. Ils peuvent accéder à des bons de travail, à des informations sur les actifs et à des documents sur des tablettes, des téléphones et autres dispositifs électroniques.
Travail d’équipe
Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie doivent travailler de façon autonome, avec d’autres mécaniciens et mécaniciennes en protection-incendie, d’autres gens de métier et du personnel d’autres ministères et organisations provinciales et fédérales selon l’énoncé des travaux.
Formation continue
Les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie lisent des manuels et des documents liés au métier afin de se tenir au courant des avancements dans leur métier. Ils participent aussi à des séances de formation (en ligne ou en classe) sur les nouveautés en matière de technologie, d’équipement et de consignes de sécurité. De plus, ils apprennent de manière informelle en échangeant des renseignements avec leurs collègues et les fournisseurs.
Tendances du métier mécanicien/ mécanicienne en protection-incendie
Environnements d’installation
Il y a une demande pour des systèmes de gicleurs résidentiels en raison de la sensibilisation accrue à la sécurité des personnes et des exigences relatives aux assurances. Cela continuera d’étendre le travail en dehors des secteurs typiques industriel, commercial et institutionnel. Cela requiert plus de communications avec les gens qui ne sont pas dans le métier et les utilisateurs finaux.
Des préoccupations de plus en plus grandes concernant la protection des individus et de leurs biens ont donné naissance à de nouvelles lois plus strictes en matière d’installation, d’entretien, d’inspection et de mise à l’essai des systèmes de protection-incendie. Ces nouvelles exigences augmentent le besoin de moderniser les immeubles existants.
Considérations relatives à la sécurité et à l’environnement
La sécurité joue un rôle de plus en plus important en milieu de travail. Le respect des pratiques et de la réglementation en matière de sécurité est obligatoire; les travailleurs, les employés et les entrepreneurs qui ne les respectent pas s’exposent à de graves sanctions.
L’utilisation de l’eau est une considération qui prend de l’ampleur dans le métier et les gens du métier doivent en être conscients lors des mises à l’essai, de la modernisation et de l’installation de systèmes de protection-incendie.
Technologie et code
Les progrès technologiques et les changements apportés au code exigent que les mécaniciens et les mécaniciennes en protection-incendie mettent à jour leurs connaissances et leurs compétences afin de s’adapter à la complexité accrue des systèmes de protection-incendie et qu’ils cherchent à obtenir une formation spécifique au fabricant. Par exemple, les systèmes de gicleurs sous eau qui utilisent la technologie de gicleurs automatiques à déclenchement rapide (ESFR) et la technologie d’application spécifique de mode de contrôle (CMSA) sont de plus en plus recherchés, parce qu’ils assurent une protection contre l’incendie plus économique et permettent d’éliminer les systèmes de gicleurs sur étagères dans les lieux d’entreposage. Les systèmes de protection-incendie spécialisés, dont les systèmes hybrides et les systèmes à agent propre, deviennent de plus en plus répandus dans les endroits qui contiennent de l’équipement électronique délicat comme les bureaux et les salles de serveur ou de réseau.
Les composants comme les petits postes de robinetterie et les collecteurs de colonnes montantes sont fabriqués avec possibilité de préassemblage. De nouveaux modèles de gicleurs spécialisés sont offerts sur le marché et de plus en plus de modèles sont destinés à des applications particulières.
En raison des exigences de l’autorité compétente et des progrès technologiques, les dispositifs requièrent un entretien, une inspection et des essais plus fréquents et planifiés pour assurer le bon fonctionnement des systèmes de protection-incendie.
Outils et équipement
L’utilisation d’outils comme les niveaux laser, les fils à plomb laser et les outils sans fil est de plus en plus répandue dans le métier. En raison de la complexité du métier et de la fréquence accrue d’essais, il existe une plus grande variété d’équipement de diagnostic. La technologie numérique, comme les téléphones intelligents et les tablettes, est plus courante, et aide à l’apprentissage continu, la communication et la tenue des dossiers.
Niveau de performance auquel s’attend l’industrie
Toutes les tâches doivent être effectuées selon les normes et les codes provinciaux et territoriaux qui s’appliquent. Toutes les normes de santé et de sécurité doivent être respectées et observées. Le travail devrait être de haute qualité et effectué efficacement, sans gaspillage de matériaux ou dommages causés à l’environnement. Toutes les exigences du fabricant, des spécifications du client, de la National Fire Protection Association (NFPA), des Laboratoires des assureurs du Canada (ULC), de la mutuelle des manufacturiers, du CNB, des codes de prévention des incendies et de l’autorité compétente doivent être satisfaites. Au niveau de performance de compagnon, toutes les tâches doivent être menées avec un minimum d’orientation et de supervision. Au fur et à mesure que le compagnon progresse dans sa carrière, on s’attend à ce qu’il continue de mettre à jour ses compétences et ses connaissances afin de suivre l’évolution de l’industrie et de promouvoir l’apprentissage continu dans son métier, notamment le mentorat des apprentis.
Exigences linguistiques
Il est attendu que les compagnons peuvent comprendre l’anglais ou le français, qui sont les deux langues officielles du Canada, et qu’ils peuvent communiquer dans une ou l’autre de ces langues. L’anglais et le français sont les langues communes des affaires et de l’enseignement des programmes d’apprentissage.
Remerciements
Le CCDA et EDSC tiennent à exprimer leur gratitude aux gens du métier, aux entreprises, aux associations professionnelles, aux syndicats, aux ministères et organismes gouvernementaux des provinces et des territoires ainsi qu’à toute autre personne ayant participé à la production de la présente publication.
Des remerciements particuliers sont adressés aux représentants ci-dessous, qui ont grandement contribué à la première ébauche de la norme et qui ont offert des conseils d’experts durant son élaboration :
- Daniel Bowers - Colombie-Britannique
- Jamey Brown - Nouveau-Brunswick
- Trevor Busch - Manitoba
- Robert Christensen - Saskatchewan
- Chris Dudek - Manitoba
- Eric Hall - Nouvelle-Écosse
- Dwayne Isele - Alberta
- Brian MacLean - Ontario
- Chris McCloskey - Alberta
- Scott McKenna - Île-du-Prince-Édouard
- Jamie McKenzie - Canadian Automatic Sprinkler Association (CASA)
- Jamie McPherson - Colombie-Britannique
- Paul Neate - Nouveau-Brunswick
- Justin Nowasad - Colombie-Britannique
- Maria Osetsky - Alberta
- Marcel Payette - Nouvelle-Écosse
- Steve Steele - Ontario
- Kevin Sullivan - Terre-Neuve-et-Labrador
- Jason Thompson - United Association
- Dean Vollmer - Yukon
La présente norme a été préparée par le personnel de la Direction de l’apprentissage et des professions réglementées d’EDSC. La coordination, la facilitation et la production de la présente NPSR ont été effectuées par l’équipe d’élaboration des NPSR de la Division des métiers et de l’apprentissage. L’Ontario, la province hôte, a aussi pris part à l’élaboration de la présente NPSR par l’intermédiaire de l’Ordre des métiers de l’Ontario.
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